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mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































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Le jour de ma naissance,
04/09/2005 22:04
Oui aux ciels bleus qui s'étireront au-dessus de mes yeux
Oui aux soleils radieux qui illumineront mes journées
Oui aux blanches lunes qui berceront mes sommeils
Oui aux fleurs qui me saouleront de leurs parfums

Oui aux oiseaux qui m'étourdiront de leurs frais gazouillis
Oui aux champs de blé et aux prés verts...
Mais le plus important, c'est que j'ai dit
Oui aux orages qui gronderont les nuits d'hiver

Oui aux pluies qui ne manqueront pas d'inonder mes rêves
Oui aux roses qui s'abîmeront en l'espace d'une nuit
Oui à l'herbe piétinée et meurtrie
Oui aux arbres dénudés criant leur solitude
Oui à la neige qui engloutira la vie...
Aux uns comme aux autres, j'ai dit OUI.
Parce que je sais que la neige s'effondre un jour quelque soit sa ténacité,
que le soleil triomphe toujours quelque soit la colère du ciel,
et que les fleurs renaissent quelque soit la douleur du sol...
C'est en chacun de nous que s'épanouit un arc-en-ciel; il s'agit de ne pas le laisser pâlir, surtout de ne pas le semer de larmes. Un sourire augmenterait davantage son éclat, vous ne trouvez pas ?
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Automne
04/09/2005 21:57
Le vent souffle
les feuilles tourbillonnent
dans une ronde monotone
le ciel est gris
un peu triste
cela manque de gaieté
il fait déjà un peu froid
l'hiver sera bientôt là
les arbres grelottent
ils seront bientôt dénudés
adieu le beau feuillage
vert et multicolore
la pluie annonce son arrivée
quelques gouttes se mettent à tomber
lorsque le soleil se cache
les oiseaux sont moins bavards
Drôle de saison
changeante et rigoureuse
humide et pluvieuse
Mais elle a sa place
parmis nous.
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Liberté !
04/09/2005 21:16
De quel droit mettez-vous des oiseaux dans des cages ?
De quel droit ôtez-vous ces chanteurs aux bocages, Aux sources, à l'aurore, à la nuée, aux vents ? De quel droit volez-vous la vie à ces vivants ? Homme, crois-tu que Dieu, ce père, fasse naître L'aile pour l'accrocher au clou de ta fenêtre ? Ne peux-tu vivre heureux et content sans cela ? Qu'est-ce qu'ils ont donc fait tous ces innocents-là Pour être au bagne avec leur nid et leur femelle ?
Qui sait comment leur sort à notre sort se mêle ? Qui sait si le verdier qu'on dérobe aux rameaux, Qui sait si le malheur qu'on fait aux animaux Et si la servitude inutile des bêtes Ne se résolvent pas en Nérons sur nos têtes ? Qui sait si le carcan ne sort pas des licous ? Oh! de nos actions qui sait les contre-coups, Et quels noirs croisements ont au fond du mystère Tant de choses qu'on fait en riant sur la terre ? Quand vous cadenassez sous un réseau de fer Tous ces buveurs d'azur faits pour s'enivrer d'air, Tous ces nageurs charmants de la lumière bleue, Chardonneret, pinson, moineau franc, hochequeue, Croyez-vous que le bec sanglant des passereaux Ne touche pas à l'homme en heurtant ces barreaux ?
Prenez garde à la sombre équité. Prenez garde ! Partout où pleure et crie un captif, Dieu regarde. Ne comprenez-vous pas que vous êtes méchants ? À tous ces enfermés donnez la clef des champs ! Aux champs les rossignols, aux champs les hirondelles ; Les âmes expieront tout ce qu'on fait aux ailes. La balance invisible a deux plateaux obscurs. Prenez garde aux cachots dont vous ornez vos murs ! Du treillage aux fils d'or naissent les noires grilles ; La volière sinistre est mère des bastilles. Respect aux doux passants des airs, des prés, des eaux ! Toute la liberté qu'on prend à des oiseaux Le destin juste et dur la reprend à des hommes. Nous avons des tyrans parce que nous en sommes. Tu veux être libre, homme ? et de quel droit, ayant Chez toi le détenu, ce témoin effrayant ? Ce qu'on croit sans défense est défendu par l'ombre. Toute l'immensité sur ce pauvre oiseau sombre Se penche, et te dévoue à l'expiation. Je t'admire, oppresseur, criant: oppression ! Le sort te tient pendant que ta démence brave Ce forçat qui sur toi jette une ombre d'esclave Et la cage qui pend au seuil de ta maison Vit, chante, et fait sortir de terre la prison
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Tout à recommencer
04/09/2005 14:42
Tout à recommencer

L'été en souverain
Installe ses châteaux verts, sous le soleil ardent.
Juin, pusillanime, se fait discret, doucereux, même très câlin.
Puis juillet transmet à août son flambeau incandescent.

La lèpre de l'automne ravage les grandes mains des érables.
Septembre coupe en brosse ses épis blonds.
Octobre lance son oraison funèbre et éteint ses candélabres.
Enfin novembre vient border les tombeaux des cimetières d'un blanc profond.

L'hiver fait la sieste.
Les arbres assoupis semblent croire que ce bonheur béat sera éternel.
Décembre et ses réjouissances sèment l'allégresse.
Viennent janvier et février avec la neige qui, lentement, patiemment, efface tout... si sûre d'elle.

Le printemps déchire son corset de glace.
" Enfin, dit-il, je respire, je vis, je suis libre ! "
Et mars, de sa baguette magique, fait sortir avril de son étroit masque.
Mai, avec sa fière allure, sort sa boîte à peinture; tout vibre ...

L'été, en souverain,
Installe ses châteaux ...
Tout est donc à recommencer?
Oui ... chaque année.

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